Boulangerie La Bolinette

Je remets le lien, visiblement manque 2 points :

Sauvons la bollinette
https://www.facebook.com/sauvonslaBollinette06

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On a qu'un côté de l'histoire après, vu le tarif du loyer, on peut comprendre le propriétaire de vouloir passer à des tarifs plus actuels ou reprendre possession de son bien. Surtout qu'il devait il y avoir des travaux à faire.

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Le rêve ? La station de Valberg, les pistes d'Auron et la neige d'isola :-)

De toute manière, qui reprendra l'affaire ? Le restaurant en face est aussi à vendre.
La nouvelle de boulangerie de Clans phagocyte tout.

Alors, si Mme Daumas payait un loyer même modeste, passer de rien à tout comme il est dit,
quand le tout (1000 euros/mois) n'aura aucune chance de trouver bailleur... ça rime à quoi ?!!!


D'autre, cette femme dont je me rappelle la lumière et la chaleur de sa boulangerie, en pleine nuit noire, pas un vent à glacial à 23 heures en redescend du ski... elle fait partie de l'âme de cette vallée et elle méritait un tout autre traitement que celui d'une terroriste qu'on met sur la paille à soixante dix années passés.

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Voici l'article de [url=http://http://www.nicematin.com/vallees/route-du-ski-la-bollinette-a-mis-la-cle-sous-la-porte.2297139.html]Nice Matin/url]

Bon pour les baveux et jaloux qui crachent sur une femme dont je n'avais jamais vu la boutique fermée, et ceci encore à 70 balais... regardez vous dans le miroir avant de l'ouvrir.



http://www.nicematin.com/vallees/route-du-ski-la-bollinette-a-mis-la-cle-sous-la-porte.2297139.html

La mythique boulangerie de la Bollinette, sur la route des stations, a tiré le rideau. Pas le temps pour une nouvelle fournée, place au feuilleton.

Marie, au lieu-dit la Bollinette, dans un des nombreux virages de la vallée, trône une boulangerie mythique. Cet hiver encore, sur la route du ski, des fournées de gourmands se sont repues des légendaires brioches, pissaladières ou feuilletés à la saucisse de Jeannette Daumas, l’iconique boulangère de 70 ans passés.

Des rumeurs abracadabrantes

Comme figé sous un nappage, l’endroit ressemble aux photos noir et blanc du siècle dernier. Seule trace d’activité récente du commerce fermé depuis plusieurs semaines: une serrure. Toute neuve.

Les habitués de la route sont formels: lorsque le commerce était ouvert, les clients se multipliaient comme des petits pains, jusque tard le soir. Une affaire a priori florissante, donc. Et qui fait jaser.

À quelques kilomètres, le calme d’un après-midi méridional règne dans le petit village de Saint-Sauveur-sur-Tinée écrasé par la chaleur. Dans l’ombre des ruelles, il se murmure toutes sortes d’histoires: «C’est le GIGN qui est intervenu!» dit celui-ci, «ils ont trouvé un pactole en billets» rapporte celle-là, «si les gens savaient…» conclut cet autre dans une allusion lourde de sous-entendus. Des hypothèses qui semblent invraisemblables pour un petit commerce de montagne. Et pourtant.

Ex-OGCN/Bollinette: 1-0

Les murs de l’échoppe appartenaient au fils de Jeannette Daumas, qui avait des dettes impayées envers l’ex-joueur de l’OGC Nice, Jean-Philippe Rohr. Ce dernier, devenu marchand de biens, a voulu récupérer son dû: «Il y a eu procès et j’ai gagné. Comme M. Daumas était propriétaire de la boulangerie, celle-ci a été saisie».

Mise à prix pour une bouchée de pain (9.500 €) et adjugée pour quelques miettes de plus, la boutique de brioches est depuis 2006 la propriété d’une résidente corse. Celle-ci souhaite aussitôt faire réviser le loyer trop modique, de… 274 € annuels.

Vincent Laudicina, marchand de biens et proche de la propriétaire, précise: «Nous souhaitions un loyer d’environ 800 € mensuels, ce qui est tout à fait raisonnable, vus les prix pratiqués dans le coin. Mais nous n’avons pas réussi à nous entendre avec Mme Daumas».

Millefeuille juridique

Pourtant, la boulangerie aurait pu perdurer. Mais voilà, selon Vincent Laudicina, la nouvelle propriétaire n’a jamais reçu le montant du loyer. De son côté, la boulangère assure avoir tenté de payer. Les preuves présentées sont insuffisantes pour le tribunal de grande instance qui décide de rompre le bail.

Usant des procédures, parfois jusqu’à la Cassation, attaquant jusqu’aux huissiers, la famille Daumas s’est plusieurs fois cassée les dents. Depuis 2011, ce ne sont pas moins de trois notifications d’expulsion qui ont été engagées.

Mais voilà, depuis 2013, les affaires de la boulangère sont en liquidation judiciaire. Selon son conseil, cela aurait dû suspendre l’expulsion. Le premier huissier chargé du dossier a été poursuivi en justice par la famille Daumas. Et son successeur, pourtant étranger à l’affaire, aussi. Procès perdus, une fois de plus, avec indemnités pour les deux hommes de loi.

Pour éviter tout soupçon de conflit d’intérêts, ils se déchargent du dossier.

70.000 € en cash

En mai dernier, un nouvel huissier, Me Molleville, procède à une nouvelle expulsion, avec les forces de l’ordre. Peu après, convaincue que la justice se fourvoie, la septuagénaire forcera la serrure pour reprendre possession de son gagne-pain.

Nouvelle expulsion quelques jours plus tard. Et cette fois, en plus des gendarmes, les déménageurs sont présents. Meubles et équipements sont embarqués et confiés au garde-meuble. Cerise sur le gâteau, les équipes mettent la main sur 70.000 € en cash, montant confirmé par le conseil de Jeannette Daumas.

Nouvelle attaque de la commerçante: son conseil prétend que l’huissier a bâclé la procédure. La préfecture n’aurait pas autorisé la présence des forces de l’ordre. La gendarmerie dément formellement: «Nous avions l’autorisation d’intervenir de longue date. Toutefois, afin de renforcer le dossier, la préfecture a accordé une nouvelle fois le concours de la force publique».

Jeannette Daumas ne l’entend pas de cette oreille. Mettant en cause le tribunal de Nice, la cour d’appel d’Aix-en-Provence, les huissiers, et même la préfecture, elle envisage d’entamer un nouveau marathon judiciaire. Gérard Steppel, le maire de la commune de Marie, se désole: «La fermeture d’un commerce est toujours un coup dur pour un village». Mais il se murmure que le lieu-dit pourrait bientôt retrouver de quoi faire un festin sur la route des stations.

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Vu le dernier prix de vente, et vu le cash trouvé chez elle, elle aurait pu devenir propriétaire des locaux, et elle aurait été tranquille.

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Le rêve ? La station de Valberg, les pistes d'Auron et la neige d'isola :-)

Deconstruction,pourquoi tant de haine?
Les baveux,les jaloux qui crachent etc...?
Tu as vu ça ou?
Relis les posts,tout le monde vas dans le sens de la Jeannette!
Sûrement la chaleur,ça tape sur le système des gens fragiles psychologiquement au bout d'un moment.

Sinon sur le fond de l histoire ,maintenant qu'on en connais un peu plus:
Bin:le fils il a tout faut,dettes,joueur foot,etc,pas clair du tout
La mère qui paye pas le loyer aussi ,que ce soit de 280€ ou de 800€/an
Je la trouve très procédurière.bizarre!
Donc sous réserve que l'article de Nice Matin relate la vérité ,ce qui lui arrive me paraît totalement logique,même si je suis très triste de savoir que je n'aurais plus mes bonnes grosses miches;-))que j adore et achete depuis très très longtemps à chaque passage.
Mais cela n 'excuse pas le reste.


Ps: une bonne douche glacée ,ça fait du bien quand il fait chaud,ça remet bien les idées en place plutôt que d'insulter des gens sans raisons.

@+ ;-))

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Viva La Vida
Viva Isola

Yuli, la voix de la raison

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Le rêve ? La station de Valberg, les pistes d'Auron et la neige d'isola :-)

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Hasta la Vista

C'était préventif Yuli... rapport à ce que j'ai pu lire ailleurs de petits c..., je ne voulais pas que ça arrive ici.

Lomnibus

"Nice Matin" pris la main dans le sac (de farine)

Quelle mouche a pu bien piquer "Nice Matin", journal lui-même en difficultés, à se laisser aller à commettre un article à charge contre la boulangerie "la Bollinette" et la famille Daumas, le 23 juillet dernier ? Et, qui plus est, à refuser le droit de réponse à la famille DAUMAS (voir lettre çi-contre). Une animosité personnelle ? Une intoxication alimentaire de Robert Namias rédacteur en chef ? Et d'où le journal tire-t-il les noms de Jean Philippe Rohr et Vincent Laudicina dont il va recueillir le témoignage alors que rien ne laisse supposer qu'ils soient liés à "l'affaire" ? Et, à contrario, pourquoi le témoignage des deux principales protagonistes de "l'affaire", Jeannette DAUMAS la boulangère et Sylvie FRANCOIS, la "sans domicile fixe" vraie fausse propriétaire des murs, n'a-t-il pas été recueilli ? "L'Omnibus hebdo" devait donc mener l'enquête. Et d'abord sur notre confrère "Nice Matin" lui-même. Rappelons au lecteur que ce journal, après bien des péripéties, a été placé en redressement judiciaire (RJ) par le tribunal de commerce de Nice il n'y a pas si longtemps (mai 2014). Que le 07.11.2014 ce tribunal de commerce a retenu la candidature des salariés du journal, réunis en SCOP, pour sa reprise et confié à Robert Namias les pleins pouvoirs, entraînant au passage la démission d'Eric de Montgolfier, ancien procureur de la République à Nice, du conseil de surveillance reprochant audit Namias de ne pas réunir ledit conseil. Namias, de son coté, indique que ce n'est pas nécessaire, qu'il dispose de 10 millions de trésorerie (dont 4 millions de prêts de Bernard Tapie) outre 40 millions d'actifs immobiliers (?). Malgré tout des appels à contributions privées sont lancés par les journalistes ? Le journal serait-il en plus grand besoin de trésorerie qu'il n'est dit ? C'est dans cette ambiance délétère, d'absence de surveillance et de "chacun pour soi" (avant fermeture possible) que sera rédigé l'article en cause par un certain Ludovic Mercier...

Mais ce ne peut être lui qui a été chercher Jean Philippe Rohr et Vincent Laudicina pour meubler son article puisque le conflit est, à première vue, entre DAUMAS Jeannette et FRANCOIS Sylvie ? En bon journaliste le sieur Mercier n'aurait-il pas du prendre contact, par priorité, avec elles pour venir directement aux sources ? Ce sont donc eux qui sont venus à lui (et parions sur Rohr) pour contrecarrer la campagne en faveur de la boulangère prenant de l'ampleur sur le Net. Et ce sont eux qui lui ont tenu la plume (y a-t-il eu une contrepartie ?), il suffit de lire l'article pour s'en convaincre. Mais cette bévue a eu du bon. Elle a mis sur le devant de la scène deux "marchands de biens" qui ont, manifestement, joué un rôle majeur dans "l'affaire la Bollinette". D'abord M Rohr qui, en tant qu'ancien joueur de l'OGCN, est mis à contribution pour être le témoin de moralité de son collègue ! Moralité ? C'est à voir. Les marchands de biens sont des personnes qui fréquentent les chambres des criées des tribunaux pour racheter tout ce qui a été saisi par les huissiers et est à vendre. S'enrichir de la misère des autres n'est pas un métier très moral ni très ragoutant mais fort lucratif (plus que les tables de poker, que mr Rohr se plait à fréquenter). Ainsi on peut rencontrer mrs Rohr et Laudicina tous les jeudis matin à l'annexe du palais de Justice de Nice avec leurs avocats enchérisseurs le nez au vent, flairant l'infortune gage de la bonne affaire. Et en ces temps de misère elles sont nombreuses. Le premier opère via sa société ST Conseils et le second via la sienne, "Lvc". Mais ce dernier utilise aussi un faux nez, sa compagne Mme FRANCOIS, quand l'enchère n'est pas trop élevée, comme dans le cas qui nous occupe...

Dans le cas de la Bollinette c'est bien Mr. Rohr (qui doit au passage 34 268.48 euros au titre d'intérêts à la famille Daumas depuis le 12 octobre 2004, outre les intérêts sur cette somme depuis) qui a fait saisir et mettre aux enchères les murs de la "Bollinette" pour récupérer son "dû" comme il le déclare au journal. Mais quel dû ? Les loyers impayés d'un appartement que lui-même n'avait pas ...payé ! C'est, du reste, une bizzarerie de la "saisie immobilière" (qui date du temps des "Tenardier" de Victor Hugo) que de devenir propriétaire sans payer le prix en cas de contestation... ! Le second a acquis les murs à la criée, via Mme FRANCOIS, la "sans domicile fixe" (qui dispose de pas moins de 4 domiciles...) pour une bouchée de pains et quelques miettes de plus (16 000 euros) comme indiqué par le journal. Au passage il va profiter du statut "impécunieux" de sa compagne (déclarée au journal comme proche de lui) pour se faire octroyer l'aide juridictionnelle (ce sont les contribuables qui payent à sa place les frais d'avocat et d'huissiers). Il n'y a pas de petites économies chez les marchands de biens.

Mais, on l'a vu, Mamy Bollinette fait de la résistance ce que le journal parait lui reprocher (!?). Le bail commercial fixe le loyer à 22.86 euros par mois, proportionnel aux "miettes payées" pas les 800 euros indiqués par le journal (en réalité le double réclamé). Elle saisit les tribunaux et résiste, depuis bientôt 9 ans, aux assauts répétés du marchand de biens. Tant et si bien que les premiers huissiers de justice (Me Fulconis et son successeur Ouzilou) ne disposant pas de toutes les voies de droit leur permettant de procéder à l'expulsion de la famille Daumas de sa boulangerie, renoncent, plus respectueux du droit que leur successeur. Il faudra, au marchand de biens, trouver un 3ème huissier, qui se moque des procédures. Ce sera Mte Molleville. Mais aussi d'un chef de service à la "mission logement" de la préfecture (M Liautaud) plus complaisant, pour que le marchand de biens arrive à ses fins. Et on va voir cette chose inouïe, la force publique (et quelle force, pas moins de 8 gendarmes + un OPJ) mise au service d'une cause privée et illicite par l'action dévoyée d'un huissier s'octroyant les 3 pouvoirs de l'Etat, législatif (par violation de la loi), judiciaire (en outrepassant des décisions de justice) et exécutif (en violation des règles d'octroi de la force publique). Qui dit mieux ! C'est tout le dysonctionnement du droit de la saisie immobilière qui est mis en évidence derrière ce cas d'école. Espérons que cette affaire qui a suscité un émoi régional légitime devienne un enjeu national pour une réforme du droit de la saisie immobilière et d'un meilleur contrôle des huissiers. N'est-il pas grand temps que le droit et la morale se rejoignent ?

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Tu sembles bien au courant de l'affaire. Toutefois il me semble que les 800€ dont fait référence le quotidien devrait correspondre au nouveau loyer, ce qui parait dans la norme dans la vallée. Maintenant ce qui risque de faire mal dans cette affaire ce sont les 70 000€ en liquides qui ont été retrouvés. En tout cas personne ne mentionne le fait que sa boulangerie était en liquidation judiciaire, les 70 000€ en espèces ayant certainement entrainé cela. Maintenant ce qui choque un peu comme le faisait remarquer Yuli c'est ta facon de présenter la chose: "pour les baveux et jaloux".

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Isola forever